Sept ans après la première expérience de fracturation hydraulique qui avait provoqué des séismes, Londres, soucieux de réduire la dépendance du Royaume-Uni en matière d’importations de gaz, a modifié la réglementation et va autoriser l’entreprise à reprendre ses activités.
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Même si la Grande Bretagne ne veut plus être européenne, elle sera toujours à notre « frontière » et les grands-bretons seront toujours nos voisins. Il serait dramatique, avant tout pour elle et ses générations futures qu’elle saccage sa grande île.